En 2008, la diaspora marocaine est de 5 200 000 individus répartis très inéquitablement sur les cinq continents[63]. Un peu moins de 85 % des résidents marocains à l'étranger (RME) résidaient alors sur en Europe. En 1er, la France abritait 34 % de la communauté des expatriés marocains soit 1 943 970 individus dont les 31 % en Ile-de-France (précisément en Hauts-de-Seine et Yvelines). Vient en second l'Espagne avec 917 132 RME, suivie de Italie avec 710 105, avec suivie des Pays-Bas et de la Belgique où réside majoritairement une population à dominante rifaine, tous trois flirtant avec la barre symbolique des 500 000 individus. L'Allemagne et les États-Unis totalisent respectivement 140 000 et 250 000 RME. On notera par ailleurs la faiblesse de ces chiffres s'agissant des pays du monde arabe. Seule la Libye tire son épingle du jeu avec une communauté de 120 000 Marocains.
L'Algérie quant à elle abrite plus un peu moins de 80 000 Marocains, chiffre nettement inférieur à celui d'avant la désormais fameuse Marche Noire où Boumediene raflait et expulsait du territoire 360 000 Marocains installés sur les terres d'Algérie depuis des siècles et ce en réponse à la Marche Verte de Hassan II.
En raison de sa forte proximité de l’Europe, et de la présence au nord du Maroc des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, le Maroc est souvent victime de l’immigration clandestine avec des milliers de clandestins en transit ou en partance pour l'Europe.
En 2007, selon les autorités marocaines, le démantèlement de plus de 580 réseaux mafieux spécialisés dans l’immigration clandestine a permis l’arrestation de 88 580 candidats à cette immigration illégale (dont 8 440 marocains et 21 140 extra-nationaux, originaires pour la plupart de pays subsahariens).
Médecins sans frontières, l’organisation non gouvernementale travaillant sur le terrain, dénonce, elle, le fait que les migrants en transit sur le territoire marocain soient malmenés ; ces migrants sont en effet arrêtés et jugés arbitrairement, sans avocat pour leur défense, sans interprète de la langue arabe, langue que souvent ils ne comprennent pas.
En marge de ces phénomènes, il existe au Maroc une importante communauté algérienne issue notamment des vagues d'exil datant de la période coloniale (ces vagues concernent aussi la Tunisie). D'autre part, le Maroc accueillait en 2007 une communauté d'expatriés Français de l'ordre de 120 644 individus. Enfin, les divers protocoles d'accords culturels signés avec de nombreux pays africains et portant notamment sur l'octroi de bourses d'étude ont permis au Maroc d'accueillir en 2007 une communauté de 9500 étudiants subsahariens (chiffre représentant 70 % de l'ensemble de la communauté estudiantine étrangère). Le Maroc est le 3e pays ou le trafic de drogue en tout genres se fait d'importance, le trafic de drogue est souvent dirigé par des personnes qui font partie du grand banditisme de drogue de Casablanca à Tanger et travaille en collaborations avec les traficant d'origine marocaine des pays européens France, Italie, Pays Bas, Belgique ou même Espagne. Les jeunes issue de l'immigrations sont un grand nombre a retourné au Maroc pour se fournir en stupéfiant.
L'Algérie quant à elle abrite plus un peu moins de 80 000 Marocains, chiffre nettement inférieur à celui d'avant la désormais fameuse Marche Noire où Boumediene raflait et expulsait du territoire 360 000 Marocains installés sur les terres d'Algérie depuis des siècles et ce en réponse à la Marche Verte de Hassan II.
En raison de sa forte proximité de l’Europe, et de la présence au nord du Maroc des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, le Maroc est souvent victime de l’immigration clandestine avec des milliers de clandestins en transit ou en partance pour l'Europe.
En 2007, selon les autorités marocaines, le démantèlement de plus de 580 réseaux mafieux spécialisés dans l’immigration clandestine a permis l’arrestation de 88 580 candidats à cette immigration illégale (dont 8 440 marocains et 21 140 extra-nationaux, originaires pour la plupart de pays subsahariens).
Médecins sans frontières, l’organisation non gouvernementale travaillant sur le terrain, dénonce, elle, le fait que les migrants en transit sur le territoire marocain soient malmenés ; ces migrants sont en effet arrêtés et jugés arbitrairement, sans avocat pour leur défense, sans interprète de la langue arabe, langue que souvent ils ne comprennent pas.
En marge de ces phénomènes, il existe au Maroc une importante communauté algérienne issue notamment des vagues d'exil datant de la période coloniale (ces vagues concernent aussi la Tunisie). D'autre part, le Maroc accueillait en 2007 une communauté d'expatriés Français de l'ordre de 120 644 individus. Enfin, les divers protocoles d'accords culturels signés avec de nombreux pays africains et portant notamment sur l'octroi de bourses d'étude ont permis au Maroc d'accueillir en 2007 une communauté de 9500 étudiants subsahariens (chiffre représentant 70 % de l'ensemble de la communauté estudiantine étrangère). Le Maroc est le 3e pays ou le trafic de drogue en tout genres se fait d'importance, le trafic de drogue est souvent dirigé par des personnes qui font partie du grand banditisme de drogue de Casablanca à Tanger et travaille en collaborations avec les traficant d'origine marocaine des pays européens France, Italie, Pays Bas, Belgique ou même Espagne. Les jeunes issue de l'immigrations sont un grand nombre a retourné au Maroc pour se fournir en stupéfiant.
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